Les traumatismes vécus par les parents ou les grands-parents laissent-ils une empreinte biologique DURABLE transmise de générations en générations ?
C’est la question que s’est posée une équipe de chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université de Genève (UNIGE). Ces derniers nous apportent une réponse à la question de l’héritage des expériences traumatiques de nos aïeux.
Dans un hôpital psychiatrique, à partir du sang des patients, l’existence de cicatrices sur l’ADN consécutives à des stress traumatiques a été recherchée. Pour ce faire, les chercheurs ont isolé un gène qui répond à un stress très fort résultant d’un traumatisme.
Proportionnellement à ce qu’ils avaient subi, on a trouvé chez les patients des modifications chimiques de leur ADN. Cette cicatrice est mesurable. Le traumatisme s’inscrit dans le génome, et sa trace subsiste à chaque division cellulaire. Parmi les participants à cette expérience, on a le cas d’une grand-mère, d’une mère, et de sa fille. La grand-mère a un mari qui viole sa fille. De cette agression naît une petite fille. Et après une analyse de méthylation sur ces 3 générations, on constate que celle qui porte la plus grande cicatrice sur son ADN est bien la petite fille, née de l’inceste et jamais violée !
Source : UNIGE, rubrique communiqué de presse
Heureusement, nous savons aujourd’hui qu’il est désormais possible d’agir positivement sur ces « cicatrices » par le biais de diverses thérapies.
La Kinésio-Training® qui regroupent divers outils, part d’un traumatisme, hérité ou acquis par l’expérience de vie, d’une difficulté ou d’un dysfonctionnement physique ou psychologique, et passe ensuite par le corps, afin de libérer les stress engrammés et d’accompagner la personne sur le chemin de la rencontre avec ses propres forces de remise en santé et de résolution de problème pour atteindre l’objectif.
Céline Soudeille-Hoareau
Fondatrice de la Kinésio-Training ®
Créatrice des My TPM by Céline, un Temps Pour Moi ©