Mon corps – ma métaphore de vie
Ou comment nos mots témoignent de nos maux, de notre profil psychologique et de nos expériences de vie
Notre inconscient biologique, (triade psycho-cérébro-organique) stocke les chocs de l’inconscient familial et emmagasine les stress à travers nos expériences de vie.
Pour autant nous inscrivons-nous dans un déterminisme ?
Je ne crois pas ! Nous sommes à la fois faits de nos expériences de vie et nous écrivons chaque jour les pages de nos vies !
- Prendre conscience des chocs programmants en généalogie
- Travailler sur les stress programmant et déclenchant les pathologies dans nos expériences de vie
- Libérer la charge émotionnelle négative liée à un événement douloureux
- Réorienter notre façon d’envisager les situations
Tout ceci constitue autant d’éléments qui permettent, à mon sens, d’aider à moduler l’expression de nos gènes et à modérer l’expression de la « mal-a-dit ».
Note : ces décodages ne se substituent EN AUCUN CAS à l’avis d’un médecin ni à un traitement médical.
Psoriasis – Décodage
C’est une affection de la peau caractérisée par l’apparition d’éléments arrondis, formés de squames sèches, brillantes et nacrées, qui partent facilement en grattant et laissent en-dessous une surface rouge, luisante, qui saigne facilement.
Etymologie :
Du grec psôra, gale, se gratter. La gale est une autre maladie de peau, contagieuse, induisant un ressenti d’exclusion. Cf. L’expression « Tu peux goûter ! Je n’ai pas la gale ! » C’est une des tonalités qu’on pourra rechercher dans le conflit lié au psoriasis.
Stress psycho émotionnel :
Cette affection touche l’épiderme (couche superficielle de la peau). La peau parle de contact et de perte de contact, donc de séparation. C’est bien le contact avec l’autre qui met fin au stress de séparation. On cherchera alors les séparations stressantes dans l’expérience de vie (stress déclenchant) et en généalogie (stress programmant.)
Le psoriasis se manifeste par des micros ulcérations qui racontent un conflit de séparation actif. Le sens des micros ulcérations est d’augmenter la surface de contact mais également d’informer rapidement le cerveau de la reprise de celui-ci.
Le corps exprimera la fin du conflit de séparation par le biais de rougeurs, gonflements, prurits, qui auront pour but de reconstituer l’épiderme initial.
Ainsi, le psoriasis est une réaction biologique à un double conflit de séparation, dont l’un est actif et l’autre solutionné.
La localisation de l’affection sur le corps informera des sous-tonalités conflictuelles symboliques ou pourra être l’indication que c’est à cet endroit qu’il y a eu perte et/ou reprise du contact.
L’histoire de M. :
J’ai eu le cas d’une jeune femme dont le père a fait une attaque et a failli y rester (stress de séparation). Il a survécu mais dans la même période elle vivait une séparation avec son petit ami de l’époque dans une tonalité de « souillure » et un ressenti d’exclusion. En effet, ce dernier exprimait avec force une vision très archaïque de la femme dite « respectable ».
Nous avons bien là un double stress de séparation, avec dans un cas, le père qui a failli mourir mais qui survit et dans l’autre, la rupture dans le couple.
De plus, cette séparation se révèle dans une tonalité de souillure induisant un ressenti d’exclusion (cf. psôra : gale –> Expression populaire : « Je n’ai pas la gale ! »)
C’est dans ces tonalités de ressentis que les crises peuvent se manifester.
Ethologie :
Gérard Athias fait référence aux dauphins, pour trouver un autre des conflits psycho-émotionnels possibles, en lien avec cette « mal-a-dit ».
Les dauphins sont d’excellents nageurs. Ils le doivent, entre autres, à leur peau qui se renouvelle toutes les deux heures par desquamation ainsi qu’à la pression de l’eau qui s’exerce pour permettre la vitesse. Notons également que le dauphin est un mammifère, qui après être sorti de l’eau, y est retourné.
Donc, on pourra retrouver avec la double séparation, et le ressenti d’exclusion, des stress en lien avec la notion de vitesse et un certain type de pression ainsi qu’un changement d’environnement.
Les encouragements du tarot de lettres hébraïques pour cette pathologie :
- Phé : j’exprime mon ressenti quand je me sens coupé de moi-même ou de l’autre.
- Samek : je n’hésite pas à demander du soutien et je travaille sur mes attachements.
- Reish : je rationnalise et je m’adapte à toute nouvelle situation.
- Iod : j’ai la capacité de retrouver l’unité et la plénitude en moi.
- Aleph : je peux prendre un nouveau départ.
- Zayin : je sors du besoin de fusion et je travaille le détachement dans l’amour et la joie du cœur.
Céline
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