Autotest kinésiologique de précision

Qu’est-ce que c’est ?

Pour tenter d’expliquer ce mécanisme subtil, je vais m’appuyer sur une expérience racontée par le Docteur Gérard Athias, fondateur de la Biopsychanalyse © et co-fondateur de GEST©.

« Nous sommes pensés par notre cerveau »
Gérard Athias

L’exemple de l’autobus :

« Je traverse la rue d’une façon un peu étourdie et brusquement, je vois, j’entends, je sens qu’un bus arrive sur moi.

Quelle est ma réaction ? Je recule ou j’avance.

Mon cerveau va évaluer la situation grâce à nos 5 organes des sens qui sont notre système intégrateur de tout notre environnement. Mon cerveau évalue donc visuellement, auditivement, et même olfactivement si le bus freine. Mon corps entre alors en action en reculant ou en avançant. Mon cerveau me donne la solution la mieux adaptée. Il va envoyer l’ordre à mon corps, à des muscles, à des nerfs, à tout mon système physique de s’échapper. L’ordre et la décision viennent du cerveau. La pensée n’a fait que donner l’information. Suivant ma position par rapport au bus, le cerveau va me donner l’ordre d’avancer ou de reculer sans que je n’y aie jamais réfléchi une seule seconde, car en l’espace d’une fraction de seconde, il a intégré la distance du bus, la vitesse du bus, la distance à parcourir. Et en fin de comptes, il a évalué quelle était pour moi la solution la meilleure.

En fait, on ne pense pas, on est pensé par notre cerveau. »

« Le cerveau donne une évaluation biologique. Son évaluation est exacte, il ne se trompe pas. »
Gérard Athias

Et bien pour l’autotest kinésiologique de précision, c’est le même mécanisme automatique.

A l’énonciation de l’objectif mon cerveau a déjà évalué mon incapacité à aller vers l’objectif car je suis stressé(e), ou ma capacité à y aller sans stress. Cela va se traduire par un mouvement automatique inconscient du corps que nous apprendrons à écouter.

Cette réponse du corps est une réponse d’ordre neuro-physiologique. C’est la même réponse qui propulse en arrière une personne qui a été surprise par une peur avant même que sa pensée analytique n’ait pu traduire l’information.

Comment ça fonctionne ?

Pour le cerveau le virtuel a autant d’impact que l’objet stressant.

Exemple : en montrant une photo d’araignée à une personne qui a peur des araignées, on peut constater une réaction de stress neurologique au niveau du système sympathique qui va induire une modification tout à fait mesurable dans l’équilibre hormonal.

Ainsi, par l’intermédiaire du système nerveux autonome on peut arriver à faire une corrélation entre la réaction de stress de la personne et le test kinésiologique.

Cela se traduira par l’augmentation ou la diminution du tonus musculaire à l’énonciation des sujets traités. Ce qui prouve l’altération de la circulation de l’énergie dans le corps en fonction du stress.

L’énergie est donc une réalité fréquentielle dont nous pouvons observer les variations par l’intermédiaire des muscles.

Et c’est cet autotest kinésiologique de précision que chacun apprendra à écouter pour lui-même en ateliers et en séances de Kinésio-Trainin©.

Céline Soudeille-Hoareau
Fondatrice de la Kinésio-Training ®
Créatrice des My TPM by Céline, un Temps Pour Moi ©

ATTENTION Ces disciplines, ateliers et consultations NE se substituent en AUCUN cas à l'avis d'un médecin ni à un traitement médical conventionnel !