« Blanchi-ment » de la barbe d’Edouard Philippe – DECODAGE

1145 jours à Matignon, ou comment le
« saint homme marche dans nos symptômes »

 

Nous savons que dans le cas d’Edouard Philippe, sa barbe blanche vient d’une maladie de peau nommée VITILIGO.

 

Etymologie :

Vitiligo vient du latin « vitium » qui désigne un défaut, un vice.

Le verbe « vitiare » signifie : rendre défectueux, gâter, corrompre, altérer, déshonorer, falsifier.

 

Symptômes :

Cette maladie se caractérise par des « taches blanches » (dépigmentation) qui apparaissent et s’étendent sur n’importe quelle partie de la peau.

L’oxymore qui décrit la manifestation de cette mal-a-dit en révèle à elle seule le conflit : « taches/blanches ».

 

Symbolisme :

Une tache est par définition, une souillure. Le blanc est, quant à lui, symbole de pureté, de virginité, de bien (opposé au mal). La « tache/blanche » est là pour « paraître blanc comme neige ».

Ainsi, le vitiligo, est, inconsciemment, la meilleure solution biologique pour ne pas être corrompu, déshonoré. Il constitue la réponse du corps à ce stress profond, inconscient pour être « blanchi », se débarrasser de la souillure.

Dans le cas de notre ancien premier ministre, il semblerait que ce soit la peur d’être sali, souillé qui se manifeste à travers sa parole, expression de son autorité (mandibule et barbe).

 

Ethologie :

Notons que certains animaux, comme le renard polaire, ont la peau qui se dépigmente en hiver, afin d’échapper à leurs prédateurs, principalement ceux qui viennent du ciel, les rapaces. Le blanc de leur pelage étant la solution biologique parfaite qui permet de se fondre dans le décor enneigé, pour être, au sens propre du terme, blancs comme neige.

 

Transposé anthropologique / sociologique / psychologique / politique / économique… A vous de voir ^_^’ (Rires) :

Certains individus ont la peau qui se dépigmente dans l’adversité, afin d’échapper à leurs prédateurs, principalement ceux qui viennent des très hautes sphères du pouvoir, les « rapaces ». Le « blanchi-ment » de leur peau (et de leur barbe) devient alors la solution biologique parfaite qui permet de se fondre dans le « décor enneigé » c’est-à-dire, dans le théâtre/décor politique, sous couvert de bonnes intentions, pour « apparaître », au sens « propre » et figuré du terme, blancs comme neige.

On se demande bien (ou pas) à quels « mensonges » et « manigances » Edouard Philippe a dû faire face durant ses 1145 jours à Matignon…

Certains penseront simplement que l’ancien premier ministre d’Emmanuel MACRON, très surveillé par le président qui le voyait comme un potentiel concurrent pour les futures présidentielles, voulait montrer « patte blanche » sur sa loyauté envers le chef de l’état, malgré sa popularité et ses ambitions.

D’autres, dits plus… « complotistes », pensent, sans doute à raison, que peut-être, guetté d’encore plus haut, Edouard Philippe n’était pas en accord avec la politique covidiste que le gouvernement mettait en place à l’époque, malgré le soutien apparent qu’il apportait au président.

Tout ce que je peux dire, c’est que si son stress avait été de « montrer » « patte blanche » à Emanuel Macron concernant sa loyauté, ses tâches auraient sans doute été sur ses mains.

Or, elles se situent au niveau de l’aire de l’expression automatique, dans une sphère associée, entre autres, à la détermination (au niveau de la mandibule). Cela signifie donc, probablement, que relayer les « ment-songes » du « gouverne-ment » ne le mettait pas très à l’aise…

ATTENTION Ces disciplines, ateliers et consultations NE se substituent en AUCUN cas à l'avis d'un médecin ni à un traitement médical conventionnel !